Jason Walker
Nombre de messages : 7
Age : 34
Date d'inscription : 30/06/2008
ARE YOU PETRiFiED ??
YOUR FEELiNGS ::
    (70/100)
RELATiONSHiP ::
SECRET :: Qui a dit que les scientifiques savaient tenir leur langue ? Mais est-ce vrai ce qu'elle a dit dans mes bras ?
 | Sujet: Jason Walker  Lun 30 Juin - 1:22 | |
| 1. B£FOR£ £V£RYTHING
  
& . NOM : Walker
& . PR£NOM : Jason
& . SURNOM :
& . AG£ : 24 ans
& . LI£U D£ NAISSANC£ : Pour de vrai ? Un laboratoire. Pour de faux ? A chicago.
2. YOUR STORY
& . CARACT£R£:
Jason est une personne déterminée, qui sait toujours ce qu’il veut, ce qu’il désire et qui a tendance à agir en conséquence pour l’obtenir, quelque soit le temps qu’il risque d’y consacrer. Certains le qualifient de calme… voir même d’insensible et de bien trop nonchalant lorsqu’on le regarde ou qu’on l’interroge sur certains sujets, et ils ont peut-être effectivement raison. Mais disons simplement qu'il préfère s'intéresser à ce qui le mérite et oublier le reste. Néanmoins, il faut souligner un détail de sa personnalité... s'il ne dévoile pas franchement ce à quoi il pense, cela ne l'empêche pas de laisser le doute envahir son esprit. Il n’aime par ailleurs pas vraiment se dévoiler trop facilement, ne parlant que rarement de choses qui le concernent de manière personnelle, seules certaines personnes qui s’avèrent lui être proches, ont connaissance de certains points de son existence, en dehors des scientifiques. Il reste donc des plus secrets.
Par ailleurs, c’est un être soupçonneux, qui n’accorde pas facilement sa confiance dans la fierté qui est la sienne, dans le regard nébuleux, mais attentif, qu’il porte sur les autres et qui peut devenir tout aussi rapidement, moqueur et mesquin, jouant sur les mots pour rabaisser ou jouer avec les autres. Mais cela n’est que le rempart d’une profondeur qui se trouve en lui, laissant ses sentiments s’y tapirent avec l’obstination de la sécurité et de la manipulation rusée de toute sa vie. Car lorsque l’on réussit à s’infiltrer dans cette profondeur jusqu’à effleurer ses sentiments, il faut s’attendre à ce caractère jaloux et possessif, cette manière d’être qui ne partage pas, qui le laisse devenir dans un premier temps railleur.
C’est également un jeune homme intelligent, mais qui ne passera pas toute sa vie dans des livres, il a bien d’autres choses à faire que de s’y noyer de manière continue pour un travail ou autre... l'alcool et la cigarette étant devenues ses meilleures amies ces dernières années. Mais ne dit-on pas qu'il faut se méfier de l'eau qui dort ? Manipulateur à ses heures, il joue facilement telle ou telle lorsqu’il en ressent le besoin ou simplement le désir. Reste à préciser que c’est un jeune homme d’une fidélité indéniable, qui lorsqu’il donne sa parole à quelqu’un, la tien. (bien évidemment si l’on ne le trahit pas où qu’il ne ressent pas un coup fourré.) Il est également très intuitif... Malgré tout, lorsqu’il connaît la personne, qu’il se sent à l’aise en sa compagnie, Jason peut être taquin, amusant, avoir de véritables conversations, des jeux tout aussi infantiles qu’intelligents, comme s’il lui suffisait de traverser un voile invisible pour rejoindre un tout autre monde, attirant, fascinant, dans lequel il pourrait enfin se révéler sans craindre les autres, sans se méfier d’eux.
& . PHYSIQU£:
D’un mètre soixante dix-neuf, Jason est d’une taille moyenne acceptable selon lui, ni trop petit, ni trop grand. Il possède un regard où l’émeraude des océans brûlants semble s’être égaré et qui ne paraît refléter que l’apparence d’un calme et d’une simple distance dans un premier temps. Car si on dit souvent que les yeux sont le reflet de l’âme, ici, ils sont surtout ce que le jeune homme décide de montrer à l’autre, jouant sur ces miroirs d’un autre temps comme l’on joue d’un instrument de musique, tirant sur la corde de son interlocuteur de la même manière que l’archet glisse sur celles du violon. De plus, sa chevelure brune, se rapproche plus du noir que de la couleur de l’écorce d’un arbre parfois, ces effets semblant dépendre de l'éclairage qui parsème celle-ci.
Il possède également une peau plutôt pâle, même si celle-ci est capable de se teinter avec légèreté et justesse, il semble évidant que sans la présence du soleil, cela reste difficile à obtenir. Si sa peau n’a donc rien de bien particulier, si ce n’est un teint presque blafard, il reste tout de même à signaler la marque de naissance qui se trouve à sa taille, juste au dessus de ses fesses, et ayant la forme d’une flèche, ou tout du moins s’en rapprochant fortement. Le reste de son corps n’est pas difforme, légèrement musclé, on pourrait facilement céder à la tentation de s'égarer dans ses bras, ne serait-ce que pour avoir l'impression d'exister, d'être unique... mais c'est là que le bas blesse, Jason donne plutôt l'impression d'être un mauvais garçon, rassurant en un sens, certes, mais dangereux dans un autre. Facilement bagarreur, il n'hésitera pas à en venir aux mains s'il se sent concerné par ce qu'il se passe.
& . HISTOIR£:
Passant un main volage dans sa chevelure, le jeune garçon mena de l'autre le goulot d'une bouteille à ses lèvres, avant que de ses doigts libres entrouvrirent le cahier sur lequel il avait noté ce qu'il avait appris sur sa vie... une vérité sans nom pour lui, mais pas la plus séduisante à connaître. Bien évidemment... il n'en savait pas tant, mais il s'était plu à enrubanner la réalité dont il ne savait presque rien à l'époque...
Ma naissance :
Un 16 février… L’air opaque de cette nuit sans lune paraissait retenir son souffle sous cette nouvelle venue qui se dessinait peu à peu dans le ventre de celle qui se trouvait sur ce lit d’hôpital. La sueur qui perlait sur ses traits laissait ressentir la fatigue qui l’étreignait, la laissait perdre son souffle sous la chaleur étouffante des lieux. Et tandis qu’elle sentait ses forces s’amenuiser, sa main se desserrant peu à peu de celle de son époux resté à ses côtés pour la soutenir, ses lèvres parsemant par instant son front, ce fut les hurlements d’un nouveau-né s’époumonant qui saluèrent le repos qu’elle ressentit alors. Il devait sans doute ressembler à une tomate passée dans un mixer, mais elle le trouva parfait, absolument superbe, comme l’avait été à ses yeux son premier fils, et comme le serait par la suite son troisième enfant. Et pourtant ce n'était que moi.
Mon enfance / Mon adolescence :
Je n’était qu’un gamin comme tant d’autres, un de ceux que l’on regarde plutôt étrangement, trop solitaire, trop timide également, trop fin selon ce que l’on pouvait dire sur moi. Un fétu de paille trop fragile, qui pourtant malgré les apparences était capable de frapper fort, certains de mes petits camarades s’en souvenaient d’ailleurs pendant plus d’une semaine à la suite de l’un de mes accès de rage. Après tout, ils n’avaient pas à se moquer à la base, à me chercher, et si je restais bien souvent dans son coin, observant le reste du monde, on ne pouvait pas dire que je n’attirais pas l’attention. D’ailleurs, bon nombre de fois, je suis rentré en compagnie de mon frère, de ma sœur, ma mère sensiblement inquiète, sensiblement furieuse, de mon comportement. Mais comment aurait-elle pût réagir autrement ? Et combien de fois lui répondis-je d’un ton mi-boudeur, mi-frondeur : « J’avais pas le choix je te dis ! », sans vouloir donner plus d’explication, me refermant comme aurait pût le faire une huître boudeuse. Je ne voulait pas avouer les moqueries, les railleries… qui de toute manière finirent par disparaître d’elles-mêmes lorsque l’on ne se risqua plus à m'ennuyer, de peur de prendre mon poing dans la figure, le gringalet s’avérant plus résistant qu’il n’y paraissait.
Malgré tout, même si je persistais à me montrer distant, à fuir les autres sous ma timidité et ma réserve qui ne disparaissaient pourtant pas, certains enfants avaient pris pour habitude de rester avec moi. Partageant éclats de rire et jeux en tout genre, comme par exemple aller dans un terrain vague interdit aux non ouvriers qui devint notre royaume le plus sûr le temps que durèrent les travaux. En un mot... j'étais simplement heureux.
Le virus :
Je l'étais oui... jusqu'à ce jour où le virus se déversa sur le monde, s'emparant des âmes qui s'égaraient jusqu'aux ténèbres des limbes. Ma famille fut décimée, les cris devraient ainsi hanter ma mémoire, mais il n'y a rien, que ce vide absurde qui s'ingénie à me pourrir l'esprit. Je sais juste qu'ils sont morts à quelques centimètres de moi... les scientifiques m'ayant trouvé à demi-conscient dans un lit d'hôpital, cet endroit d'où ils m'emportèrent pour me soigner, mes délires leur apprenant cette existence qui est presque celle d'un étranger à mes yeux. Mais j'y crois, là n'est pas la question, ces êtres dont le visage n'engluent pourtant pas mon âme, compte pour moi, même s'ils ne sont que l'égal des chimères dans mon existence présente.
Il s'était alors interrompu à l'époque, ne voyant pas quoi rajouter à ce détail cynique de son existence, mais à cette seconde, tout paraissait tanguer devant ses yeux, après cette nuit passée dans les bras de cette fille incapable de tenir sa langue. D'un geste lasse, le jeune garçon mena une nouvelle fois la bouteille à ses lèvres, ses doigts se resserrant sur le verre par simple réflexe, tandis que ses paroles lui revenaient sournoisement en tête.
Personne ne saurait ce qu'il avait appris, le doute avait sa place, car la véritable question reste : Faut-il croire le délire d'une fille saoule ou ce que des scientifiques affirment ?
& . GROUPE: # JE NE SAiS PAS... #
& . R£LATION:
#GABRiELLE .R. BENNETT: PLUS ELLE ME REPOUSSE PLUS ELLE ME PLAiT... ET PUiS ELLE PEUX DiRE CE QU'ELLE VEUT JE SAiS QUE JE LUi PLAiT AUSSi
#MARTHA F. HENDRICKS :L'EXEMPLE MÊME DE LA COPINE JALOUSE, ELLE ME MORDRAiT PRESQUE. MAiS ELLE EST AMOUREUSE DE GABRiELLE OU QUOi?!
& . VOTR£ S£CR£T :
APRèS UNE SOiRéE BiEN ARROSéE iL A COUCHé AVEC UNE SCiENTiFiQUE UN PEU TROP BAVARDE. DEPUiS LE DOUTE LE SUBMERGE...
« C’est la première fois que je couche avec quelqu’un comme toi… » murmura la jolie blonde en laissant ses doigts glisser sur le torse de Jason, celui-ci l'ayant attirée suavement contre lui.
« Comme moi ? » avait-il alors souligné d’une voix amusée, supportant visiblement bien mieux l’alcool que cette dernière.
« Un clone… tu sais. » avait-elle répondue comme s’il savait parfaitement de quoi elle parlait, les doigts de celle-ci glissant sur chaque attache qu'elle défaisait de sa chemise, dévoilant le torse finement dessiné du jeune homme.
« Qu’est-ce que tu racontes ? » insista-t-il alors qu’il se montrait sensuellement persuasif… ses mains s'emparant de la jeune femme, la faisant basculer sous lui, ses lèvres s'évaporant sur la courbe de son cou, y déposant de voluptueux baisers.
« Hum… » glissa-t-elle en mordillant sa lèvre sous le supplice des siennes, les lignes de son corps de lovant contre le sien. « Tu es différents et c’est peut-être mieux… un véritable délice… de la technologie. Hum… j’aimerais bien… connaître l’original pour comparer. »
« Je le suis peut-être… » répondit-il d’une voix sourde, la laissant se mettre à rire.
« Il est dehors lui ! »
« Tu as trop bu... qu'est-ce que tu fais du virus ? »
« Parce que tu y crois ? » murmura-t-elle en menant son visage près du sien, susurrant de nouvelles paroles tout en laissant sa main sinuer plus bas que la morale ne le permettrait. « Et si on s’occupait d’autre chose ? » glissa-t-elle donc, ses lèvres mordillant finalement la sienne, alors qu’il chassait les délires stupides de la jeune femme pour s’enliser dans ses bras, ressentant ses ongles s'incruster dans la chair de son dos.
Ce ne fut qu'après que le doute le submergea, qu'il commença à s'interroger sur la véracité de ce que l'alcool lui avait fait dire, lorsque celui-ci eut déserté en grande partie son corps bien trop imbibé la veille. Mais une chose était certaine, il n'avait pas rêvé, les marques ayant suivis de peu sa révélation trônant avec l'ardeur sauvage sur son buste.
3. YOU, B£HIND TH£ SCR££N
& . PR£NOM: /
& . AG£: 19 ans
& . COMM£NT AS-TU D£COUV£RT L£ FORUM? Par un top site.
& . NOT£R LE FORUM: {7/10}
& . AUTR£S?
- Spoiler:
CODE OK ! PAR VOTRE ADMIN' JAKE
Dernière édition par Jason Walker le Jeu 3 Juil - 13:09, édité 4 fois | |
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Kenzie B.Dawson
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Kenzie B.Dawson
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